Octuor de France

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  Jean Françaix

  Pour le centenaire de la naissance de Jean Françaix, le label INDESENS vient de publier un coffret de 3 CDs consacré aux plus belles oeuvres de musique de chambre du compositeur, interprétées par l’Octuor de France.

  Au programme:

  CD 1 :

  Quatuor à cordes (1937) – Sonatine pour violon et piano (1934) – Thème et variations pour clarinette et piano (1974) – Divertissement  pour piano et trio à cordes (1933)

  CD 2 :

  Dixtuor pour quintette à cordes et quintette à vents (1987) – Huit bagatelles pour piano et quatuor à cordes (1932) – Nonetto d’après le quintette Kv. 452 de Mozart pour hautbois, clarinette, cor, basson et quintette à cordes (1995)

  CD 3 :

  Octuor pour clarinette, cor, basson et quintette à cordes (1972) – Divertissement pour basson et quintette à cordes (1942) – Quintette pour clarinette et quatuor à cordes (1977) – L’heure du berger pour piano et quintette à cordes (1947)

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  « …Aujourd’hui comme en 1996, les musiciens de l’Octuor de France sont à leur affaire. C’est même pour eux que Françaix a mitonné en 1995 son Nonetto à partir du Quintette K. 452 de Mozart; il en a transposé la partie de piano pour un quintette à cordes. Un délice! » – François Laurent, Diapason

  « …Depuis plus de trente ans, l’Octuor de France a porté haut la renommée de la musique de chambre française. Ce coffret peut être écouté comme un manisfeste. » – Jacques Bonnaure, Classica

DVDs

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  Poil de Carotte

  Un film muet de Julien Duvivier (1925) d’après le roman de Jules Renard
  France – N & B Teinté – 1h48 – Stéréo
  Arte Video
  Musique originale : Gabriel Thibaudeau interprétée par l’Octuor de France

  Les souffrances et les révoltes d’un jeune garçon surnommé Poil de carotte par sa mère qui le déteste. Qu’est-ce que la famille pour Poil de carotte, sinon une réunion de gens qui ne peuvent pas se sentir ? Que lui importe si son grand frère Félix dérobe de l’argent pour une chanteuse de boui-boui ? La tendresse qu’éprouve pour lui la petite Mathilde, l’affection que lui témoigne la servante Annette ne compensent ni la haine de sa mère, ni l’indifférence de son père. Pourtant lorsque celui-ci apprend que son fils songe au suicide, il intervient et, en mettant sa main dans celle du petit, scelle ainsi une amitié qui réconforte celui qui croyait être la honte de la famille.